Le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, a tenu le jeudi 9 décembre une conférence de presse en compagnie de la ministre de la culture, des arts et patrimoine Catherine Katumbu.
Au cours de cette conférence de presse, la ministre de la culture a, tout d’abord, remercié tous les précurseurs de la rumba qui sera inscrite sur la liste des représentations de patrimoine de l’UNESCO, avant d’énumérer quelques tâches attribuées à son ministère.
« Nous profitons de cette occasion pour remercier tous les précurseurs de la rumba, nous reconnaissons avoir eu beaucoup de tâches notamment, la direction de la promotion culturelle, le règlement de conflit qui existe au sein de la SOCODA, créer de festival de cinéma, l’organisation des grands prix congolais de la culture et des grandes oeuvres artistiques ainsi que faire des suivis de la reconnaissance de la rumba comme on le célèbre aujourd’hui », a indiqué Catherine Katumbu.
Partant de ces tâches madame la ministre a ajouté que plusieurs stratégies ont été mises en place.
« Nous avons commencé d’abord à travailler avec la diplomatie ou les ambassadeurs des différentes représentations ici dans notre pays et aussi nous avons essayé de travailler comment se mettre à la place du monde à la modernisation du numérique tout en approchant les collaborateurs qui ont ça comme technicité », a-t-elle déclaré.
En outre, Catherine Katumbu a laissée entendre que l’inscription de la rumba constitue une opportunité dans le cadre de recherche des solutions aux problèmes de la reprise des concerts des musiciens congolais en Europe car, dit-elle, c’est en France où il y’a le siège de l’UNESCO qu’on doit traiter la question de la rumba.
Il sied de rappeler que la charte de la reconnaissance culturelle de la rumba congolaise a été signée le 9 novembre dernier.