Une affaire explicite à caractère sexuel sur le web impliquant une étudiante de l’Université protestante au Congo, UPC, a mis les autorités de cet alma mater sur tous leurs états. Lundi 13 juin, l’Université a vu rouge contre Ntambwa Kinkela Edith avant de décider d’une exclusion définitive de cette étudiante pour avoir diffusé les images compromettantes d’elle sur les réseaux sociaux.
Le sextape pratiqué par de l’étudiante a profondément inquiété les autorités de l’Université protestante au Congo, UPC. Aussitôt saisie, elles ont pris une décision radicale sur son exclusion immédiate. L’affaire remonte au jeudi 9 juin 2022. Plus d’une vingtaine de vidéos compromettantes ont été balancées sur la toile.
Les images impliquant l’étudiante de cette université ont mis les autorités de l’établissement dans tous les états. L’étudiante de G2 en médecine à l’UPC, matricule MD005319, se serait mise à l’œuvre avec plusieurs autres actrices dans des ébats sexuels avec d’autres partenaires aux visages voilés.
Les pratiques estimées par le Recteur de cette institution étaient jugées non seulement contraires aux valeurs chrétiennes dont l’Université Protestante au Congo prônées à travers l’enseignement mais aussi qui violent le règlement des étudiants spécialement en ses articles 48 et 55 alinéa d.
Par conséquent, l’étudiante Ntambwa Kinkela est désormais renvoyée pour de bon de l’université Protestante au Congo. C’est ce qu’a déclaré le Recteur professeur, Mgr Daniel Ngoy qui par la suite a chargé le secrétaire général académique d’exécuter cette décision qui sort ses effets à la date de sa signature.
Ce n’est pas la première fois que l’Université protestante au Congo soit touchée par un scandale d’ordre sexuel. Il y a eu une première en 2008 et en 2009, si l’on en croit les internautes.